Toit de chaume : Différence entre versions
(Page créée avec « Le terme "chaume" concerne toute toiture végétale faite de paille de blé, de seigle, de jonc, de roseau, de genêts ou de bruyère. Présentant de nombreux avantages, o... ») (Balise : Éditeur visuel) |
(Balise : Éditeur visuel) |
||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
− | Le terme "chaume" concerne toute toiture végétale faite de paille de blé, de seigle, de jonc, de roseau, de genêts ou de bruyère. Présentant de nombreux avantages, on la retrouve dans plusieurs régions françaises. Bien qu'il n'y ait plus autant d'installation de couverture de ce type depuis le XIXème siècle, il subsiste encore quelques constructions qui revêtent des toits de chaume et des artisans qui en pratiquent la pose. | + | Le terme "chaume" concerne toute toiture végétale faite de paille de blé, de seigle, de jonc, de roseau, de genêts ou de bruyère. Présentant de nombreux avantages, on la retrouve dans plusieurs régions françaises. Bien qu'il n'y ait plus autant d'installation de couverture de ce type depuis le XIXème siècle, il subsiste encore quelques constructions qui revêtent des toits de chaume et des artisans, appelés chaumiers, qui en pratiquent la pose. |
− | == Bibliographie == | + | ==Bibliographie== |
− | * CHAUVET J.-Y. (1990), ''L'architecture paysanne vestigiale, Les ultimes chaumières'', Revue Maisons Paysannes de France, n°96, 2T, pp.16-23. | + | *CHAUVET J.-Y. (1990), ''L'architecture paysanne vestigiale, Les ultimes chaumières'', Revue Maisons Paysannes de France, n°96, 2T, pp.16-23. |
+ | *FIRBAL D., BARRIER B. (2001), ''Le chaume, confortable sain et beau'', Revue Maisons Paysannes de France, n°141, 3T, pp.5-7. | ||
+ | *GAUTHIER C. (1994), ''Le chaumier au travail,'' Revue Maisons Paysannes de France, N°112, pp.57-59. |
Version du 8 janvier 2019 à 14:20
Le terme "chaume" concerne toute toiture végétale faite de paille de blé, de seigle, de jonc, de roseau, de genêts ou de bruyère. Présentant de nombreux avantages, on la retrouve dans plusieurs régions françaises. Bien qu'il n'y ait plus autant d'installation de couverture de ce type depuis le XIXème siècle, il subsiste encore quelques constructions qui revêtent des toits de chaume et des artisans, appelés chaumiers, qui en pratiquent la pose.
Bibliographie
- CHAUVET J.-Y. (1990), L'architecture paysanne vestigiale, Les ultimes chaumières, Revue Maisons Paysannes de France, n°96, 2T, pp.16-23.
- FIRBAL D., BARRIER B. (2001), Le chaume, confortable sain et beau, Revue Maisons Paysannes de France, n°141, 3T, pp.5-7.
- GAUTHIER C. (1994), Le chaumier au travail, Revue Maisons Paysannes de France, N°112, pp.57-59.