Lucarnes d'Ingré (Loiret) : Différence entre versions
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La particularité d’[https://fr.wikipedia.org/wiki/Ingr%C3%A9 Ingré] (commune du nord de l’agglomération d’Orléans qui comptait entre 2000 et 3000 habitants dans le deuxième moitié du XIX<sup>ème</sup> siècle) et des communes avoisinantes ([https://fr.wikipedia.org/wiki/Ormes_(Loiret) Ormes], [https://fr.wikipedia.org/wiki/Saran Saran], [https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Chapelle-Saint-Mesmin La Chapelle-Saint-Mesmin]) est de posséder une '''riche et intéressante série de lucarnes à fronton décoré ou marqué''', à côté bien sûr d’autres maisons à lucarne simple, en bois ou à la capucine, ces dernières ne pouvant matériellement pas recevoir de décor. Sans prétendre à l’exhaustivité, il est de constituer à Ingré une « collection » représentative des principaux motifs décoratifs. | La particularité d’[https://fr.wikipedia.org/wiki/Ingr%C3%A9 Ingré] (commune du nord de l’agglomération d’Orléans qui comptait entre 2000 et 3000 habitants dans le deuxième moitié du XIX<sup>ème</sup> siècle) et des communes avoisinantes ([https://fr.wikipedia.org/wiki/Ormes_(Loiret) Ormes], [https://fr.wikipedia.org/wiki/Saran Saran], [https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Chapelle-Saint-Mesmin La Chapelle-Saint-Mesmin]) est de posséder une '''riche et intéressante série de lucarnes à fronton décoré ou marqué''', à côté bien sûr d’autres maisons à lucarne simple, en bois ou à la capucine, ces dernières ne pouvant matériellement pas recevoir de décor. Sans prétendre à l’exhaustivité, il est de constituer à Ingré une « collection » représentative des principaux motifs décoratifs. | ||
La construction des maisons à lucarne ornée s’étale d’'''environ 1850''' '''au tout début du XX<sup>ème</sup> siècle''', en lien avec une prospérité liée à la viticulture d’avant l'invasion du [https://fr.wikipedia.org/wiki/Phyllox%C3%A9ra phylloxéra]. Les lucarnes ornées sont toutes des '''lucarnes gerbières''', en pierre, donnant accès au grenier ; la grande majorité comporte jambages et fronton triangulaire, quelques unes ont un fronton arrondi. Toutes les rues anciennes possèdent des lucarnes, mais les plus nombreuses se trouvent dans les rues de Coûtes, de Selliers et Route Nationale. Il existe bien sûr à Ingré beaucoup d'autres lucarnes (à fronton triangulaire ou à la capucine) sans décor. | La construction des maisons à lucarne ornée s’étale d’'''environ 1850''' '''au tout début du XX<sup>ème</sup> siècle''', en lien avec une prospérité liée à la viticulture d’avant l'invasion du [https://fr.wikipedia.org/wiki/Phyllox%C3%A9ra phylloxéra]. Les lucarnes ornées sont toutes des '''lucarnes gerbières''', en pierre, donnant accès au grenier ; la grande majorité comporte jambages et fronton triangulaire, quelques unes ont un fronton arrondi. Toutes les rues anciennes possèdent des lucarnes, mais les plus nombreuses se trouvent dans les rues de Coûtes, de Selliers et Route Nationale. Il existe bien sûr à Ingré beaucoup d'autres lucarnes (à fronton triangulaire ou à la capucine) sans décor. | ||
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Le nombre de ces lucarnes laisse entrevoir une émulation entre les propriétaires (souci d’'''affirmer une identité''', une '''position sociale''', une '''certaine aisance'''...) ; certaines constituent de véritables œuvres d’art populaire, sans doute réalisées par des sculpteurs ou tailleurs de pierre locaux : on retrouve en effet quelques motifs répétés à l’identique sur plusieurs de ces lucarnes. | Le nombre de ces lucarnes laisse entrevoir une émulation entre les propriétaires (souci d’'''affirmer une identité''', une '''position sociale''', une '''certaine aisance'''...) ; certaines constituent de véritables œuvres d’art populaire, sans doute réalisées par des sculpteurs ou tailleurs de pierre locaux : on retrouve en effet quelques motifs répétés à l’identique sur plusieurs de ces lucarnes. | ||
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| − | * Les '''noms de propriétaires''', la plupart du temps par les seules initiales ; un nom est développé en entier sur la Route Nationale où sur 3 frontons identiques on peut lire le nom du propriétaire : MA-TR-ON | + | * Les '''noms de propriétaires''', la plupart du temps par les seules initiales ; un nom est développé en entier sur la Route Nationale où sur 3 frontons identiques on peut lire le nom du propriétaire : MA-TR-ON<br> |
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| − | * des '''marques de métier''' : boulanger, maçon ou charpentier et bien sûr tous les métiers de la vigne. Tonneaux, pampres et grappes s’épanouissent sur les frontons... | + | Fichier:Nom MA P1130625.jpg|Lucarne avec initiales "MA-". Photo Maisons Paysannes de France © Délégation du Loiret. |
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| + | *des '''marques de métier''' : boulanger, maçon ou charpentier et bien sûr tous les métiers de la vigne. Tonneaux, pampres et grappes s’épanouissent sur les frontons... | ||
| + | Gaston COUTÉ, poète beauceron (1880-1911) témoignait de l’intense activité vigneronne de la région orléanaise : | ||
''"...V’là les pesans qu’ont fait vendanges !'' | ''"...V’là les pesans qu’ont fait vendanges !'' | ||
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''A rassarer l’vin dans les fûts...''"<ref>COUTÉ G., "La chanson d'un gas qu'a mal tourné", ''Après vendanges'' , E. Rey, 1928. pp.179-183. Disponible à l'adresse : https://fr.wikisource.org/wiki/La_Chanson_d%E2%80%99un_gas_qu%E2%80%99a_mal_tourn%C3%A9/Apr%C3%A8s_Vendanges</ref> | ''A rassarer l’vin dans les fûts...''"<ref>COUTÉ G., "La chanson d'un gas qu'a mal tourné", ''Après vendanges'' , E. Rey, 1928. pp.179-183. Disponible à l'adresse : https://fr.wikisource.org/wiki/La_Chanson_d%E2%80%99un_gas_qu%E2%80%99a_mal_tourn%C3%A9/Apr%C3%A8s_Vendanges</ref> | ||
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| + | Fichier:Bandeau serpette vigneP1130615.jpg|Cartouche avec décor de vignes et serpette. Photo Maisons Paysannes de France © Délégation du Loiret. | ||
| + | Fichier:Grappe et feuillesP1130645.jpg|Lucarne à décor de grappes et feuilles de vigne. Photo Maisons Paysannes de France © Délégation du Loiret. | ||
| + | Fichier:2 grappes gros plan.jpg|Lucarne avec décor de grappes. Photo Maisons Paysannes de France © Délégation du Loiret. | ||
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| + | Fichier:Outils du boulanger .jpg|Outils du boulanger.Photo Maisons Paysannes de France © Délégation du Loiret. | ||
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| − | * La '''croix''' et la '''fleur de lys''' | + | <br> |
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| + | *La '''croix''' et la '''fleur de lys''' | ||
| − | * Le '''losange''' revient souvent, simple figure géométrique ou symbole de la fécondité, préoccupation majeure des anciens : fécondité de la famille, du troupeau et abondance de la récolte. | + | * Le '''losange''' revient souvent, simple figure géométrique ou symbole de la fécondité, préoccupation majeure des anciens : fécondité de la famille, du troupeau et abondance de la récolte.<br> |
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| + | Fichier:Fleur de lys P1130559.jpg|Lucarne avec fleur de lys. Photo Claudie Plisson © Maisons Paysannes de France, délégation du Loiret. | ||
| + | Fichier:Croix.jpg|Lucarne à décor de croix et initlaes. Photo Claudie Plisson © Maisons Paysannes de France, délégation du Loiret. | ||
| + | Fichier:Losange .jpg|Lucarne à décor de losange. Photo Claudie Plisson © Maisons Paysannes de France, délégation du Loiret. | ||
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| + | *Le '''symbole solaire et ses variantes''' : cercle, étoile à 5 branches, marguerite, fleur à pétales, soleil rayonnant, rouelle,... | ||
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| − | On peut évidemment s’interroger sur le sens de ces figures, récurrentes dans l’art populaire , qu’on retrouve aussi sur les coffres, armoires , buffets ou objets utilitaires en bois : renvoient-elles à une symbolique , ont-elles un but purement décoratif ? Il n'est pas possible de trancher (sans doute y a-t-il un peu des deux...), mais deux ouvrages proposent des réponses possibles<ref>CUISENIER J. ''L’art populaire en France'', Office du Livre, 1975 (avec le concours du CNRS).</ref><ref>FILIPETTI ''Symboles et décors des maisons villageoises,'' Marques sociales, protections magiques, Rustica Editions, 1997.</ref>. | + | Fichier:Couronne 2.jpg|Lucarne à décor de couronne. Photo Claudie Plisson © Maisons Paysannes de France, délégation du Loiret. |
| + | Fichier:Cercles P1130640.jpg|Lucarne avec décors de cercles et initiales "G P". Photo Claudie Plisson © Maisons Paysannes de France, délégation du Loiret. | ||
| + | Fichier:Fleur P1130633.jpg|Lucarne avec fronton décoré d'une fleur en relief.Photo Claudie Plisson © Maisons Paysannes de France, délégation du Loiret. | ||
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| + | On peut évidemment s’interroger sur le sens de ces figures, récurrentes dans l’art populaire , qu’on retrouve aussi sur les coffres, armoires, buffets ou objets utilitaires en bois : renvoient-elles à une symbolique , ont-elles un but purement décoratif ? Il n'est pas possible de trancher (sans doute y a-t-il un peu des deux...), mais deux ouvrages proposent des réponses possibles<ref>CUISENIER J. ''L’art populaire en France'', Office du Livre, 1975 (avec le concours du CNRS).</ref><ref>FILIPETTI ''Symboles et décors des maisons villageoises,'' Marques sociales, protections magiques, Rustica Editions, 1997.</ref>. | ||
'''Gros plan sur 2 lucarnes remarquables''' : | '''Gros plan sur 2 lucarnes remarquables''' : | ||
| − | * Sur la Route Nationale, datée de 1821, une '''lucarne de type compagnonnique''', dite '''guitarde''' (malheureusement affublée d’un volet roulant...). Les « liens guitards » désignent un assemblage de bois courbes dans un plan circulaire ou ellipsoïdal.C'est la complexité de sa charpente qui en constitue l'ornementation. | + | * Sur la Route Nationale, datée de 1821, une '''lucarne de type compagnonnique''', dite '''guitarde''' (malheureusement affublée d’un volet roulant...). Les « liens guitards » désignent un assemblage de bois courbes dans un plan circulaire ou ellipsoïdal. C'est la complexité de sa charpente qui en constitue l'ornementation. |
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| + | * Sur une maison de bourg, dite « La Cigogne », datée de 1885, une ornementation originale et particulièrement soignée (traces de peinture).<br> | ||
== Bibliographie == | == Bibliographie == | ||
* FILIPETTI ''Symboles et décors des maisons villageoises,'' Marques sociales, protections magiques, Rustica Editions, 1997. | * FILIPETTI ''Symboles et décors des maisons villageoises,'' Marques sociales, protections magiques, Rustica Editions, 1997. | ||
Version actuelle datée du 15 avril 2020 à 12:43
Sommaire
En Loiret, les lucarnes décorées d’Ingré
La particularité d’Ingré (commune du nord de l’agglomération d’Orléans qui comptait entre 2000 et 3000 habitants dans le deuxième moitié du XIXème siècle) et des communes avoisinantes (Ormes, Saran, La Chapelle-Saint-Mesmin) est de posséder une riche et intéressante série de lucarnes à fronton décoré ou marqué, à côté bien sûr d’autres maisons à lucarne simple, en bois ou à la capucine, ces dernières ne pouvant matériellement pas recevoir de décor. Sans prétendre à l’exhaustivité, il est de constituer à Ingré une « collection » représentative des principaux motifs décoratifs.
La construction des maisons à lucarne ornée s’étale d’environ 1850 au tout début du XXème siècle, en lien avec une prospérité liée à la viticulture d’avant l'invasion du phylloxéra. Les lucarnes ornées sont toutes des lucarnes gerbières, en pierre, donnant accès au grenier ; la grande majorité comporte jambages et fronton triangulaire, quelques unes ont un fronton arrondi. Toutes les rues anciennes possèdent des lucarnes, mais les plus nombreuses se trouvent dans les rues de Coûtes, de Selliers et Route Nationale. Il existe bien sûr à Ingré beaucoup d'autres lucarnes (à fronton triangulaire ou à la capucine) sans décor. Le nombre de ces lucarnes laisse entrevoir une émulation entre les propriétaires (souci d’affirmer une identité, une position sociale, une certaine aisance...) ; certaines constituent de véritables œuvres d’art populaire, sans doute réalisées par des sculpteurs ou tailleurs de pierre locaux : on retrouve en effet quelques motifs répétés à l’identique sur plusieurs de ces lucarnes.
Inventaire des motifs
- Les noms de propriétaires, la plupart du temps par les seules initiales ; un nom est développé en entier sur la Route Nationale où sur 3 frontons identiques on peut lire le nom du propriétaire : MA-TR-ON
- Lucarnes avec initiales d'un propriétaire
Lucarne avec initiales "MA-". Photo Maisons Paysannes de France © Délégation du Loiret.
Lucarne avec initiales"-TR". Photo Maisons Paysannes de France © Délégation du Loiret.
Lucarne avec initiales "-ON". Photo Maisons Paysannes de France © Délégation du Loiret.
- des marques de métier : boulanger, maçon ou charpentier et bien sûr tous les métiers de la vigne. Tonneaux, pampres et grappes s’épanouissent sur les frontons...
Gaston COUTÉ, poète beauceron (1880-1911) témoignait de l’intense activité vigneronne de la région orléanaise :
"...V’là les pesans qu’ont fait vendanges !
V’la les perssoués qui piss’nt leu’s jus ;
On travaille aux portes des granges
A rassarer l’vin dans les fûts..."[1]
- Lucarnes avec décors références aux métiers de la vigne
Lucarne avec décor en forme de tonneau. Photo Maisons Paysannes de France © Délégation du Loiret.
Cartouche avec décor de vignes et serpette. Photo Maisons Paysannes de France © Délégation du Loiret.
Lucarne à décor de grappes et feuilles de vigne. Photo Maisons Paysannes de France © Délégation du Loiret.
Lucarne avec décor de grappes. Photo Maisons Paysannes de France © Délégation du Loiret.
- Lucarnes avec décors références aux métiers
Équerre et compas.Photo Maisons Paysannes de France © Délégation du Loiret.
Outils du boulanger.Photo Maisons Paysannes de France © Délégation du Loiret.
- La croix et la fleur de lys
- Le losange revient souvent, simple figure géométrique ou symbole de la fécondité, préoccupation majeure des anciens : fécondité de la famille, du troupeau et abondance de la récolte.
- Lucarnes avec décors de fleur de lys, croix et losange
Lucarne avec fleur de lys. Photo Claudie Plisson © Maisons Paysannes de France, délégation du Loiret.
Lucarne à décor de croix et initlaes. Photo Claudie Plisson © Maisons Paysannes de France, délégation du Loiret.
Lucarne à décor de losange. Photo Claudie Plisson © Maisons Paysannes de France, délégation du Loiret.
- Le symbole solaire et ses variantes : cercle, étoile à 5 branches, marguerite, fleur à pétales, soleil rayonnant, rouelle,...
- Lucarnes aux symboles solaires et de fleur
Lucarne à décor de couronne. Photo Claudie Plisson © Maisons Paysannes de France, délégation du Loiret.
Lucarne avec décors de cercles et initiales "G P". Photo Claudie Plisson © Maisons Paysannes de France, délégation du Loiret.
Lucarne avec fronton décoré d'une fleur en relief.Photo Claudie Plisson © Maisons Paysannes de France, délégation du Loiret.
On peut évidemment s’interroger sur le sens de ces figures, récurrentes dans l’art populaire , qu’on retrouve aussi sur les coffres, armoires, buffets ou objets utilitaires en bois : renvoient-elles à une symbolique , ont-elles un but purement décoratif ? Il n'est pas possible de trancher (sans doute y a-t-il un peu des deux...), mais deux ouvrages proposent des réponses possibles[2][3].
Gros plan sur 2 lucarnes remarquables :
- Sur la Route Nationale, datée de 1821, une lucarne de type compagnonnique, dite guitarde (malheureusement affublée d’un volet roulant...). Les « liens guitards » désignent un assemblage de bois courbes dans un plan circulaire ou ellipsoïdal. C'est la complexité de sa charpente qui en constitue l'ornementation.
- Sur une maison de bourg, dite « La Cigogne », datée de 1885, une ornementation originale et particulièrement soignée (traces de peinture).
Bibliographie
- FILIPETTI Symboles et décors des maisons villageoises, Marques sociales, protections magiques, Rustica Editions, 1997.
- CUISENIER J. L’art populaire en France, Office du Livre, 1975 (avec le concours du CNRS).
- COUTÉ G., "La chanson d'un gas qu'a mal tourné", Après vendanges , E. Rey, 1928. pp.179-183. Disponible à l'adresse : https://fr.wikisource.org/wiki/La_Chanson_d%E2%80%99un_gas_qu%E2%80%99a_mal_tourn%C3%A9/Apr%C3%A8s_Vendanges
Références
- ↑ COUTÉ G., "La chanson d'un gas qu'a mal tourné", Après vendanges , E. Rey, 1928. pp.179-183. Disponible à l'adresse : https://fr.wikisource.org/wiki/La_Chanson_d%E2%80%99un_gas_qu%E2%80%99a_mal_tourn%C3%A9/Apr%C3%A8s_Vendanges
- ↑ CUISENIER J. L’art populaire en France, Office du Livre, 1975 (avec le concours du CNRS).
- ↑ FILIPETTI Symboles et décors des maisons villageoises, Marques sociales, protections magiques, Rustica Editions, 1997.