Puits dans la Sarthe : Différence entre versions
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* PLESSIX R., ''Paysans du Maine dans la France ancienne'', Editions Horvath, 1986, pp.58-59. | * PLESSIX R., ''Paysans du Maine dans la France ancienne'', Editions Horvath, 1986, pp.58-59. | ||
* SORIAU J. et LABBE J., ''BEAUFAY, vieilles demeures et patrimoine local'', 2003, pp.72-73. | * SORIAU J. et LABBE J., ''BEAUFAY, vieilles demeures et patrimoine local'', 2003, pp.72-73. | ||
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Version du 28 janvier 2020 à 14:47
Sommaire
- 1 Recueil Technique Eau Citerne Mares Puits
- 2 Typologie des puits Sarthois
- 2.1 Puits à balancier ou branles
- 2.2 Puits entièrement maçonnés
- 2.3 Puits appareillés en tuffeau, carrés ou ronds, avec toiture.
- 2.4 Puits couverts d’un toit à deux versants en bois et essentage ou puits à bâtière
- 2.5 Puits couverts d’une toiture à une seule pente
- 2.6 Puits avec ferronnerie (ou montants de bois) et petit toit.
- 2.7 Puits dont la partie supérieure est entièrement métallique (à chevalets ou avec édicule).
- 2.8 Puits écrêtés et équipés d’un système mécanique ou d’une pompe.
- 2.9 Puits exceptionnels
- 3 Situation des puits
- 4 Datation des puits
- 5 Construction des puits
- 6 Conseils pour restaurer un puits
- 7 BIBLIOGRAPHIE
Recueil Technique Eau Citerne Mares Puits
Ce recueil essentiellement réalisé avec les articles de la revue Maisons Paysannes de France vous livrera les secrets de l’eau, et des informations sur les mares, les citernes et les puits.
Découvrez-là !Typologie des puits Sarthois
Un puits est avant tout un ouvrage en excavation mais c’est aussi la partie visible hors sol qui va permettre une classification.
Puits à balancier ou branles
Une perche articulée sur un poteau vertical, munie d’un contrepoids du coté opposé au puits, permet de puiser l’eau lorsque la nappe est facile à atteindre. Il suffit d’appuyer sur un des bras du balancier pour imprimer un mouvement de bascule. C’est un système qui a toujours existé, et que l’on trouvait encore récemment dans des jardins à proximité des rivières. (Coulaines, Le Mans). Ils deviennent très rares. Il en reste un au Mans près de l’Huisne, restauré avec les conseils de la délégation sarthoise de Maisons Paysannes de France.
Puits entièrement maçonnés
Ce sont des puits couverts d’une coupole ou d’une voûte conique en moellons à l’extrados. C’est le type le plus répandu dans la Sarthe.
Ils sont toujours ronds, mais leur partie supérieure peut prendre des formes diverses ; lorsqu’ils sont couverts d’une coupole bombée, on les appelle des « mitres ». A cette catégorie se rattachent les puits en forme de chapelle et les puits couverts d’une voûte campaniforme (en forme de cloche), plus rares. Ils possèdent souvent une petite ouverture à l’opposé de la porte en bois qui ne laisse entrevoir que la manivelle. La pierre est presque toujours utilisée, mais on trouve aussi de la brique et quelquefois du bois pour les linteaux.
Certains puits entièrement maçonnés se terminent par une voûte conique, souvent séparée du fût par un bandeau (ou larmier) de pierres ou de briques.
Le dôme est supporté par des dalles, des pierres en encorbellement ou des pierres appareillées en forme de voûte. Le chapeau de pierres ou de briques peut également être porté par un assemblage en bois : « la carrie ».
Le puits est parfois surmonté d’un cylindre, d’une boule, d’une poterie (secteur de Beaufay) ou d’une croix souvent disparue.
Puits appareillés en tuffeau, carrés ou ronds, avec toiture.
On les trouve bien sûr dans le sud de la Sarthe. Ils sont construits de belles pierres de taille et surmontés d’un toit d’ardoise à quatre pans assez pointu ou d’un toit en forme de poivrière. Ils sont parfois embellis d’un épi de faîtage en zinc ou d’une girouette. Le tuffeau, facile à tailler, permettait une grande diversité de formes.
Puits couverts d’un toit à deux versants en bois et essentage ou puits à bâtière
La maçonnerie peut être basse (bâtière basse) avec une ouverture située dans un pignon ou dans un angle de la petite charpente, à mi-hauteur avec l’ouverture dans la maçonnerie mais pouvant déborder sur la charpente, ou haute, et dans ce cas, l’ouverture est uniquement dans la maçonnerie. Ils sont très courants dans certains secteurs de la Sarthe (par exemple, autour de Ballon) Quand la charpente a disparu, on dit que le puits est décalotté.Puits couverts d’une toiture à une seule pente
Plus rares, ils sont dits à « galette ». On peut aussi trouver de manière exceptionnelle des puits couverts de dalles de pierre. Plus récemment, le béton a parfois remplacé un autre matériau.
Puits avec ferronnerie (ou montants de bois) et petit toit.
Ils semblent apparaître au XVIIIème siècle et deviennent courant au XIXème. Le petit toit ou auvent peut être en ardoises, en tuiles, en tôle, en bois. Ils sont ronds le plus souvent, parfois carrés ou rectangulaires.
Puits dont la partie supérieure est entièrement métallique (à chevalets ou avec édicule).
Les puits à chevalets possèdent trois jambages métalliques qui se rejoignent au centre pour l’accrochage de la poulie. Sur le côté, un cabestan permettait parfois de faciliter la manœuvre de relevage du seau. A cette catégorie appartiennent les puits pour gardien de passage à niveau, creusés dans la seconde moitié du XIXème siècle.
Il existe aussi des puits dont la partie supérieure forme un édicule octogonal terminé par une toiture conique couverte de zinc. Un système d’engrenages permettait de remonter l’eau sans difficulté. Ils forment comme une cage d’oiseau très élégante. Ils étaient probablement l’œuvre d’un artisan local (Cures).
Puits écrêtés et équipés d’un système mécanique ou d’une pompe.
A partir de 1890, il est conseillé de fermer les puits pour des raisons d’hygiène. Beaucoup d’entre eux sont alors écrêtés et des dalles de pierres, puis de béton ou de tôles sont posées par-dessus. Apparaissent alors les pompes et autre systèmes en fonte et fer (par exemple, les pompes aspirantes et foulantes ou les pompes à godets ou norias). Les constructeurs sarthois, tels les Chappée ou les Bollée n’ont pas été en reste pour proposer des mécanismes à la pointe du progrès.
Puits exceptionnels
Les puits de château ou d’abbaye, ou bien encore les puits communs à tout un groupe de population, pouvaient faire l’objet d’un soin particulier. Il en reste très peu dans la Sarthe. La plupart devaient avoir une margelle moulurée et être surmontés d’un ouvrage en fer forgé couvert d’ardoises. D’autres, comme celui de l’abbaye du Perray-Neuf à Précigné, possédaient une petite charpente à la toiture très travaillée. Certains puits exceptionnels ne sont plus connus que par une carte postale ou un dessin (vieux puits du n°9 rue de la Verrerie au Mans).
Les puits de type rustique avec ferronnerie, à chevalet ou à édicule ont sans doute subi l’influence des puits nobles en fer forgé.
Situation des puits
Ils sont le plus souvent situés à proximité immédiate de la maison d’habitation, près de la porte d’entrée, pour faciliter le travail de la ménagère, car ce sont les femmes ou les enfants qui allaient chercher l’eau. Ils étaient quelquefois encastrés dans la façade et pouvaient avoir deux ouvertures, l’une donnant à l’intérieur, l’autre à l’extérieur.
On trouve aussi des puits dans les jardins potagers.
Le comble du confort était d’avoir le puits dans la cuisine mais rares sont ceux qui pouvaient se le permettre. On en trouve également dans certaines caves (sous la maison, probablement pour des raisons de sécurité ou dans les caves de tuffeau de la vallée du Loir).
Les puits pouvaient être individuel, mais très souvent, ils étaient communs à plusieurs familles. Dans ce cas, ils pouvaient être situés entre les maisons, à cheval sur un mur de séparation avec une margelle de chaque côté, ou bien encore dans une cour à équidistance des différentes propriétés. Lorsqu’un puits était directement accessible depuis la rue, il était commun aux riverains.
Dans les villes, il existait des puits publics, accessibles à tous. Ils sont attestés par les cadastres anciens, les vieux noms de rue et les ouvrages subsistants (Sillé-le-Guillaume, Le Mans).
Datation des puits
De nombreux puits de l’époque gallo-romaine ont été découverts au Mans dans le centre ville. Ils étaient creusés à même le sable et leur finalité reste mystérieuse. Quelque uns cependant étaient appareillés de moellons et descendaient jusqu’au sable humide. Ceux là étaient des puits à eau. On ignore comment ils se terminaient, mais les matériaux utilisés étaient la pierre et le bois. On suppose donc que les formes ont dû très peu évoluer depuis l’antiquité et il n’est pas impossible que les puits voûtés de pierres ou surmontés de petites charpentes couvertes de chaume, de bois ou de tuiles aient déjà existé. Les puits à balancier sont quant à eux attestés depuis l’antiquité. Dans ces conditions, la datation des puits rustiques anciens est souvent problématique. La présence de matériaux telle la brique peut être un indice. En général, ils ne sont pas antérieurs à la maison à proximité de laquelle ils se trouvent.
Les puits à ferronnerie et auvent, de même que les puits à chevalet semblent apparaître dans les campagnes vers la fin du XVIIIème siècle, mais ils se répandent surtout au XIXème.
A partir de 1890, de nombreux puits sont écrêtés et modernisés par l’adjonction d’une pompe ou d’un système mécanique. Il est alors facile de déterminer le modèle et le constructeur, mais cela ne permet de dater que la modification de l’ouvrage.
La majorité des puits date du XIXème siècle. Les campagnes étaient encore très peuplées et il y avait une volonté d’amélioration du confort et d’efficacité.
Construction des puits
Témoignage de M. et Mme Dupé, Les puits de Chahaignes.
Le puits est une excavation, plus ou moins profonde, creusée dans le sol, de main d’homme et généralement maçonnée. Il est destiné à recueillir les eaux d’infiltration circulant dans le sol par gravité ou suivant des pentes ou des cavités (nappes phréatiques, circulation karstique). Les Chahaignots en ont creusé plus de 350, de 1,70m à 45m de profondeur. Un seul a été foré suivant les techniques pétrolières, à 140 mètres.
Sur les 350 puits recensés en l’an 2000 à Chahaignes, 108 ont encore une maçonnerie extérieure. 125, recouverts d’une dalle sont équipés d’une pompe à balancier, une bonne centaine, recouverts d’une dalle sont équipés d’une pompe électrique ou simplement abandonnés, sans emploi, fermés par sécurité. Sept seulement sont comblés.
Ces puits à l’ancienne sont équipés d’un treuil ou rouet (aneille en dialecte manceau) : un cylindre de bois, cerclé de fer, traversé dans l’axe par une longue manivelle de fer qui repose sur deux coussinets d’acier, l’un sur la petite fenêtre à l’opposé de la porte, l’autre sur le linteau de bois, au-dessus de la porte. Dans le cas d’un puits mitoyen, à cheval sur un mur, la manivelle est double, le puits a deux portes. Entre le rouet et la margelle, il faut l’espace suffisant pour poser le seau, anse levée. La margelle se trouve à quelques décimètres de hauteur pour éviter la pollution par les eaux de ruissellement, les flaques. La situation du puits en butte est préférable à celle en cuvette. La pierre de margelle, destinée à la pose du seau plein est obligatoirement en pierre dure, du grès par exemple.
Le diamètre du rouet varie avec la profondeur : à puits peu profond, petit diamètre, petite manivelle ; à puits profond, grand diamètre, grande manivelle (et effort plus conséquent). Il arrive même que le rouet soit équipé de deux seaux : l’un monte, plein, l’autre descend, vide. C’est une affaire de disposition d’enroulement de la corde. Ainsi, on gagne beaucoup de temps. La corde est toujours attachée à un crochet de fer fixé sur le bois. Elle s’enroule ou se déroule sur le rouet ; elle se prolonge par une chaîne qui lui évite de se mouiller. Elle se termine par un grand crochet solide, en fer, muni d’un ressort, appelé main-de-fer par le notaire et gargouille en parler manceau. Il permet un accrochage sûr et rapide. Au XXème siècle des câbles d’acier, fins et souples, ont remplacé la corde.
Par sécurité, la grande ouverture est fermée par une porte pleine ou à claire-voie, destinée à empêcher la chute dans le puits des jeunes enfants ou des animaux domestiques ou sauvages.
L’incident le plus courant est la cassure de la chaîne, de la corde ou alors le décrochage du seau. Il faut alors repêcher. Jusqu’à 4 mètres de profondeur, une perche, munie d’un crochet peut faire l’affaire. Sinon, l’araigne, sorte de gros hameçon de fer à 4 branches, est descendue au bout d’une corde et promenée au fond, de long en large. Avec de la patience, du temps, de la chance : on finit par accrocher le seau ou la chaîne.
L’incident le plus navrant est la chute d’un animal dans le puits : chien, chat, rat ou oiseau. Il se noie, puis se décompose.wRemonté à la surface, il attire les mouches, dégage une odeur de charogne, empoisonne l’eau. La méthode de repêchage la plus simple est celle du vieux panier d’osier lesté de pierres. On le descend au bout d’une corde, on le coule à côté de l’animal et en tournant on repêche le cadavre qu’il suffit alors de remonter. Si l’animal est trop gros, le puisatier (ou un pompier) descend l’attacher.
La fermentation cadavérique dégage du gaz carbonique. Par précaution, le puisatier descend toujours une bougie allumée au bout d’une ficelle. Si la flamme s’éteint doucement, c’est que l’air manque d’oxygène. L’homme ne descend pas.
Les puits ont été les lieux de rares drames : crimes, suicides, accidents. A Chahaignes, le dernier accident s’est produit en 1955.
Enfin ces puits anciens ont été souvent pollués, on disait alors empoisonnés, par le purin, le tas de fumier, l’élevage de canards, la fosse non étanche des cabinets d’aisance. La désinfection, après pompage et vidage de l’eau se faisait à l’eau de javel ou au permanganate de potassium.
Les Chahaignots ont « désiré » leurs 360 puits : affranchissement de la corvée d’eau à la fontaine, indépendance vis à vis des autres, fierté de posséder son eau personnelle. En été, l’eau fraîche, à volonté est appréciée. On peut même descendre le beurre, la charcuterie, la boisson au frais dans le seau. En hiver, l’eau du puits n’est jamais gelée ; par temps de verglas, les risques d’accident, dus au transport, sont limités.
Surtout dans le bourg, parfois à la campagne (hameaux, maisons proches), les puits sont communs à deux, trois, voire quatre habitations. Cette situation peut être source de conflits en cas d’accident, de pollution, de réparation nécessaire, d’assèchement momentané…
Dans les caviers, un puits commun permet aux vignerons de tirer de l’eau. Ils en sont de gros consommateurs, essentiellement pour la vaisselle. Il faut sans cesse laver le pressoir, les fûts, le matériel vinaire, les bouteilles et à l’eau chaude : d’où la nécessité d’une cheminée. Certaines caves sont pourvues de puits privés, toujours creusés directement dans le tuffeau.
Le puits idéal est tout proche de la maison, de la cuisine, de l’abreuvoir des animaux (auge). Lorsque la situation s’y prête, bas de coteau, ligne de sources (comme dans le bourg de Chahaignes), on creuse au plus près. Dans les caves l’eau n’est jamais très loin, il suffit d’atteindre la couche de marne. Sa profondeur est connue par la présence de nombreuses marnières sous le tuffeau. Sur le plateau, l’eau peut se trouver à 40 mètres ! Faute d’hydrogéologue, on faisait appel à un sourcier. La baguette de coudrier, tourne dans presque toutes les mains, aux mêmes endroits. Mais les sourciers sont plus ou moins savants ou chanceux. Lorsqu’on constate des différences importantes de profondeur entre deux puits voisins, on se pose des questions à ce sujet. Les plus renommés pour leur expérience, leurs réussites savaient probablement observer les environs, réfléchir, tirer des conclusions. Les plus doués étaient capables de prévoir la profondeur du puits à peu de chose près.
L’incident, le plus grave, mais rare, c’est de ne pas trouver d’eau à profondeur convenable et d’être obligé d’abandonner…Une histoire pittoresque date des année 1950 à Vaugermain. Une nouvelle machine à vapeur est installée à la scierie, gourmande en eau. On creuse un puits à 17 mètres, mais le débit est insuffisant. Un sourcier conseille de creuser 3 mètres plus loin. On décide de creuser une galerie horizontale, à hauteur d’homme, en cette direction. La source est bien là, l’eau envahit le puits et remonte à mi-hauteur. La machine équipée d’une pompe spéciale est bien ravitaillée en eau pour la production de vapeur et pour le refroidissement du moteur, à continu.
Conseils pour restaurer un puits
Comment restaurer les puits écrêtés à hauteur du sol?
Il existe peut-être de vieilles photos ou des personnes âgées qui peuvent fournir des témoignages. Dans ce cas, il faut refaire le puits tel qu’il devait être, par souci d’authenticité. Quelquefois, un indice sur le terrain peut amener un élément de réponse. Par exemple, si le puits écrêté est recouvert de dalles de grès, il était probablement entièrement maçonné à l’origine ; les dalles ont été récupérées et reposées.
S’il n’existe aucun indice, alors il faut improviser selon ses goûts, son intuition. On peut retenir un type de puits contemporain ou postérieur à la maison, que l’on retrouve dans les environs. Pour ne pas se tromper, le mieux est de prendre modèle sur un puits qui n’a jamais été modifié. C’est un travail assez délicat qui ne doit pas laisser une impression de kitsch ou de plagiat. Il est donc indispensable de mettre en pratique les conseils de « Maisons Paysannes de France » : maçonnerie à la chaux naturelle, enduits couvrants ou à fleur de pierres, respect des traditions locales jusque dans les détails.
Avant de débuter tout travaux, s’assurer de la solidité et de la qualité de la maçonnerie du corps cylindrique souterrain ; il serait dommage de devoir démonter de nouveau le puits fraîchement restauré.
Étymologie
Le mot puits vient du latin puteus (fosse, trou)
En 1112, puz
En 1120, puiz (le i viendrait de l’influence du francique putti
En 1131, puis
BIBLIOGRAPHIE
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- BOURDIL J., Manuel des puisatiers, Editions Atelier du Gué, Savoir-faire, 2008.
- BOUTET G., La Boîte à lumière, Les gagne-misère, tome 4, Editions Jean-Cyrille Godefroy, 1994.
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- DR DOCTEUR DELAUNAY, Les puits sarthois, dessins.
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- LEMMET J., Sargé-lès-le-Mans sur les traces de son passé ; aperçu d'histoire locale, 1999, p. 95
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- PLESSIX R., Paysans du Maine dans la France ancienne, Editions Horvath, 1986, pp.58-59.
- SORIAU J. et LABBE J., BEAUFAY, vieilles demeures et patrimoine local, 2003, pp.72-73.